Et si on pouvait accepter une idée assez réaliste : Les femmes sont bien mieux protégé aujourd'hui que les générations d'avant. Ce n'est pas la multiplication des colloques, tables rondes, articles de presse qui empêchera la réalité de se poser devant nous.
Par contre une réalité gonfle actuellement notre époque : les hommes commencent largement à être en difficulté..
Le divorce par exemple empêche une large proportion des pères de continuer à avoir accès à leurs enfants d'une façon normale. J'en passe d'autres un peu sales mais réalistes (accusation de viol, de violence, d'harcèlement, de pédophilie, ect ... ) pour de simple calculs de gardent ou de vengeance de fin de couple.
Face à de tels accusation, certaines femmes savent qu'elles auront toujours l'avantage deavant le JAF ou même le juge des enfants. C'est une réalité.
Les prétoires sont mal armés face à des telles accusations extrêmes. Les jugements parlent d'eux mêmes car ils posent souvent massivement un jugement préjudiciables au pères ou aux hommes. Par peur. On peut comprendre. La peur guide tous ces jugements. La justice n'a pas souvent l'argent pour vérifier les dires des uns et des autres.
L'ombre de la médiatisation probablement excessive de #meetoo, la peur louanle de maltraitance aux enfants, et la peu de présence masculine dans les JAF concourent à ce désastre actuel de la justice familiale.
Tout ceci engendrent une destruction massive du rôle des pères en France. Les enfants n'ont jamais été autant élevés par leur mère seul. Et le devenir des enfants dans une famille mono parentale est, on le sait, peu enviable. Pas d'études supérieurs, haine des hommes plus tard ancré chez les jeunes adultes après une éduction auprès de telles mères revanchardes.
J'aimerai tellement qu'enfin un colloque puissent soulever tout cela.
Et si on pouvait accepter une idée assez réaliste : Les femmes sont bien mieux protégé aujourd'hui que les générations d'avant. Ce n'est pas la multiplication des colloques, tables rondes, articles de presse qui empêchera la réalité de se poser devant nous.
Par contre une réalité gonfle actuellement notre époque : les hommes commencent largement à être en difficulté..
Le divorce par exemple empêche une large proportion des pères de continuer à avoir accès à leurs enfants d'une façon normale. J'en passe d'autres un peu sales mais réalistes (accusation de viol, de violence, d'harcèlement, de pédophilie, ect ... ) pour de simple calculs de gardent ou de vengeance de fin de couple.
Face à de tels accusation, certaines femmes savent qu'elles auront toujours l'avantage deavant le JAF ou même le juge des enfants. C'est une réalité.
Les prétoires sont mal armés face à des telles accusations extrêmes. Les jugements parlent d'eux mêmes car ils posent souvent massivement un jugement préjudiciables au pères ou aux hommes. Par peur. On peut comprendre. La peur guide tous ces jugements. La justice n'a pas souvent l'argent pour vérifier les dires des uns et des autres.
L'ombre de la médiatisation probablement excessive de #meetoo, la peur louanle de maltraitance aux enfants, et la peu de présence masculine dans les JAF concourent à ce désastre actuel de la justice familiale.
Tout ceci engendrent une destruction massive du rôle des pères en France. Les enfants n'ont jamais été autant élevés par leur mère seul. Et le devenir des enfants dans une famille mono parentale est, on le sait, peu enviable. Pas d'études supérieurs, haine des hommes plus tard ancré chez les jeunes adultes après une éduction auprès de telles mères revanchardes.
J'aimerai tellement qu'enfin un colloque puissent soulever tout cela.