Merci pour ces réflexions intéressantes, en effet la sécurité psychologique a bon dos pour encourager le retour au bureau. A noter, le français utilise indifféremment Sécurité là où les anglo-saxons ont le choix entre Security et Safety. Safety ajoute une notion de sérénité et de confiance (safe place), là ou la sécurité parait bien réglementaire (HSE). Et en effet, on peut concevoir que la sécurité au travail est plus simple à gérer en présentiel, dans la mesure où le flou juridique actuel pour encadrer le distanciel n'incite pas les employeurs à la prise de risque. Pour moi, la sécurité psychologique, c'est tout simplement le droit à l'erreur. Ce serait la Nasa qui l'aurait mise en avant après s'être mordu les doigts de n'avoir pas su instaurer un climat de confiance suffisant pour que les salariés osent parler de problèmes internes (crash de Challenger).
Bonjour Laetitia,
Merci pour ces réflexions intéressantes, en effet la sécurité psychologique a bon dos pour encourager le retour au bureau. A noter, le français utilise indifféremment Sécurité là où les anglo-saxons ont le choix entre Security et Safety. Safety ajoute une notion de sérénité et de confiance (safe place), là ou la sécurité parait bien réglementaire (HSE). Et en effet, on peut concevoir que la sécurité au travail est plus simple à gérer en présentiel, dans la mesure où le flou juridique actuel pour encadrer le distanciel n'incite pas les employeurs à la prise de risque. Pour moi, la sécurité psychologique, c'est tout simplement le droit à l'erreur. Ce serait la Nasa qui l'aurait mise en avant après s'être mordu les doigts de n'avoir pas su instaurer un climat de confiance suffisant pour que les salariés osent parler de problèmes internes (crash de Challenger).