nov. 17, 2020Liké par Nicolas Colin, Laëtitia Vitaud
Merci pour votre brillante discussion autour du télétravail qui peine à trouver sa place.
Le télétravail gagnerait à être désolidarisé du travail à domicile qui est très inégalitaire. En effet, tout le monde ne peut travailler depuis son domicile dans de bonnes conditions.
En fait, une solution qui pourrait prendre corps serait un mix entre l’entreprise, le domicile et les tiers lieux.
Dans cette perspective plus égalitaire, une liberté est offerte aux salariés et aux managers.
Le travail à distance est une révolution en cours pour les organisations, les immeubles et les territoires.
Merci pour votre travail et vos éclairages très inspirants.
Est-ce qu'en France, la posture des syndicats n'est pas non plus devenue inadaptée : sauf erreur de ma part, la construction syndicale en France s'est faite dans le cadre d'une lutte (des classes notamment). Et donc qu'aujourd'hui, leur modèle mental nécessite toujours une lutte, un combat, une opposition"de principe" pour pouvoir exister ?
Probablement à la différence des syndicats américains...
Et donc cette posture les empêche de changer leur finalité, leur modèle mental et donc leur place dans l'économie ?
Merci pour votre brillante discussion autour du télétravail qui peine à trouver sa place.
Le télétravail gagnerait à être désolidarisé du travail à domicile qui est très inégalitaire. En effet, tout le monde ne peut travailler depuis son domicile dans de bonnes conditions.
En fait, une solution qui pourrait prendre corps serait un mix entre l’entreprise, le domicile et les tiers lieux.
Dans cette perspective plus égalitaire, une liberté est offerte aux salariés et aux managers.
Le travail à distance est une révolution en cours pour les organisations, les immeubles et les territoires.
Merci pour votre travail et vos éclairages très inspirants.
Vincent
Est-ce qu'en France, la posture des syndicats n'est pas non plus devenue inadaptée : sauf erreur de ma part, la construction syndicale en France s'est faite dans le cadre d'une lutte (des classes notamment). Et donc qu'aujourd'hui, leur modèle mental nécessite toujours une lutte, un combat, une opposition"de principe" pour pouvoir exister ?
Probablement à la différence des syndicats américains...
Et donc cette posture les empêche de changer leur finalité, leur modèle mental et donc leur place dans l'économie ?