Bonjour, je viens de tomber sur votre article. Certes auparavant, les profs étaient vraiment mal payés par rapport à leur niveau d'études. Qu'en est-il maintenant que les salaires ont beaucoup augmenté (1891 euros pour un stagiaire fonctionnaire puis 2121 euros pour le premier échelon en net) ? Sans compter les diverses primes d'entrée dans le métier et d'accompagnement des élèves ? Je ne suis pas sûre qu'il y ait toujours autant de démissions.
Cela ne concerne que les premiers échelons, donc les 1ères années. Ce qui correspond à uniquement 5% des enseignants en poste. Le constat est donc toujours le même.
Pourquoi ne parle-t-on jamais des sommes mal réparties par rapport aux autres pays entre enseignants et personnels non enseignants. Et deuxième remarque: n’est il pas salutaire qu’enseignant ne soit plus un métier à vie et que l’enjeu soit plus de recruter des personnes venant d’autres horizons plutôt que de vouloir faire entrer des jeunes à vie dans la profession ?
Oui, la mobilité n'est pas forcément un mal. Pourquoi pas enseigner quelques années puis faire autre chose (et inversement). Hélas, tant qu'il n'y a AUCUNE valorisation associée au fait d'enseigner, ça ne règlera pas le problème du recrutement. Il faudrait que cela soit une expérience valorisée par d'autres recruteurs et par la société.
Ce qui est sûr, c'est que "faire entrer des jeunes à vie dans la profession", c'est fini : ils partent d'eux -mêmes.
Bonjour, je viens de tomber sur votre article. Certes auparavant, les profs étaient vraiment mal payés par rapport à leur niveau d'études. Qu'en est-il maintenant que les salaires ont beaucoup augmenté (1891 euros pour un stagiaire fonctionnaire puis 2121 euros pour le premier échelon en net) ? Sans compter les diverses primes d'entrée dans le métier et d'accompagnement des élèves ? Je ne suis pas sûre qu'il y ait toujours autant de démissions.
Bonjour,
Cela ne concerne que les premiers échelons, donc les 1ères années. Ce qui correspond à uniquement 5% des enseignants en poste. Le constat est donc toujours le même.
Pourquoi ne parle-t-on jamais des sommes mal réparties par rapport aux autres pays entre enseignants et personnels non enseignants. Et deuxième remarque: n’est il pas salutaire qu’enseignant ne soit plus un métier à vie et que l’enjeu soit plus de recruter des personnes venant d’autres horizons plutôt que de vouloir faire entrer des jeunes à vie dans la profession ?
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Oui, la mobilité n'est pas forcément un mal. Pourquoi pas enseigner quelques années puis faire autre chose (et inversement). Hélas, tant qu'il n'y a AUCUNE valorisation associée au fait d'enseigner, ça ne règlera pas le problème du recrutement. Il faudrait que cela soit une expérience valorisée par d'autres recruteurs et par la société.
Ce qui est sûr, c'est que "faire entrer des jeunes à vie dans la profession", c'est fini : ils partent d'eux -mêmes.