Bonjour, c’est Nicolas 🤗 Voici le “Récap” de Nouveau Départ, envoyé chaque lundi matin pour vous guider dans nos publications et mettre la semaine en perspective. Abonnez-vous !
Au sommaire aujourd’hui 👇
Les entrepreneurs sont en première ligne face à la crise. Il faut les aider.
La sphère domestique devient le centre de notre vie professionnelle.
L’éducation sortira transformée de cette période de confinement.
Le COVID-19 marque-t-il la fin de l’argent liquide ?
Pourquoi un média centré sur l’entreprise ?
Dans mon premier édito, la semaine dernière, j’expliquais pourquoi Laetitia et moi voulons centrer Nouveau Départ sur le monde de l’entreprise. Parce que les chefs d’entreprise sont les premiers touchés par la crise, ils ont beaucoup à nous apprendre dans cette période troublée. Et parce qu’ils sont à la tête d’organisations agiles, ils ont plus de facilité à se mouvoir alors même que tout bouge dans tous les sens. C’est la raison pour laquelle il faut se focaliser sur eux, les mettre en réseau et faire circuler l’information grâce à des plateformes comme Nouveau Départ : c’est la meilleure promesse de pouvoir repartir du bon pied après la crise !
Certaines entreprises sont encore plus agiles que d’autres. C’est le cas des startups. Malheureusement, un corollaire de l’agilité est la fragilité. Les startups sont encore plus durement touchées par la crise que les entreprises traditionnelles ; elles sont aussi les moins aidées par les banques et les pouvoirs publics. Dans un nouvel édito ci-dessus (mis en ligne hier soir), j’explique pourquoi il est critique d’aider les startups pendant la crise. J’annonce aussi plusieurs publications à venir sur ce sujet, réservées à nos abonnés : une interview avec Grégory Edberg, de Leuwen, qui conseille les entreprises sur leur financement de crise, et un “Grand angle” la semaine prochaine consacré aux politiques de soutien aux startups pendant la crise.
Le retour de la sphère domestique
En dehors des champs, des chantiers, des usines et des bureaux, point de travail ? Rien n’est plus faux. A la faveur de la crise du COVID-19, on prend enfin conscience que la sphère domestique est un espace de travail. Elle l’est pour les innombrables télé-travailleurs confinés à domicile du fait du confinement, mais aussi pour des millions de travailleurs domestiques qui passent du temps dans nos domiciles pour y garder nos enfants, faire le ménage et autres. Pour parler de l’impact de la crise sur ces secteurs et du futur du travail domestique, nous mettrons en ligne demain une interview avec Maïmonatou Mar, qui a fondé Gribouilli, une association et coopérative au service de milliers de nounous en France. Abonnez-vous pour ne pas la rater !
D’une manière plus générale, il est devenu vital de penser enfin la sphère domestique comme un espace de travail. C’est ce faisant que nous pourrons mettre en place de nouvelles institutions (protection sociale, négociation collective…) et développer, comme le fait Maïmonatou avec Gribouilli, de nouveaux produits et services pour ces travailleurs. Voyez à ce sujet le plus récent édito de Laetitia ci-dessous 👇 Nous mettrons aussi en ligne vendredi une interview de Denis Maillard, consultant en relations sociales, auteur d’un livre récent sur la crise des Gilets jaunes (Une colère française) et qui promeut le concept de “travailleurs du back office” pour expliquer les fractures qui minent notre société et ne vont faire que s’aggraver du fait de la crise.
Le bel avenir de l’éducation à domicile ?
Dans le premier “Grand angle” mis en ligne mercredi dernier, j’ai partagé ma vision de l’expérience de mon frère, qui pratique l’éducation à domicile (homeschooling). J’y explique pourquoi cette approche longtemps considérée comme marginale, voire subversive, devient la nouvelle frontière pour le système scolaire. Au terme de la période de confinement que nous vivons aujourd’hui, toutes les parties prenantes – enfants, parents, enseignants, entrepreneurs – vont porter un nouveau regard sur le système éducatif et exprimer de nouvelles attentes à leur attention. Pour visionner ma conférence “Grand angle” en vidéo et découvrir l’article associé, abonnez-vous !
L’argent liquide va-t-il disparaître ?
En période d’épidémie, faire passer de l’argent liquide de la main à la main, cela ne semble pas une bonne idée, pas plus que ça ne l’est de faire tripoter sa carte de crédit par les commerçants ou de taper son code sur le terminal de paiement juste après plusieurs dizaines d’autres clients. Quand on regarde la Chine ou la Suède, on voit que le paiement se transforme. On paye de plus en plus avec son mobile et sans contact. Quelles transformations dans le paiement et comment la pandémie de COVID-19 peut-elle rendre notre société cashless? Ce sera le sujet du “Grand angle” de Laetitia ce mercredi. C’est réservé à nos abonnés, donc vous savez quoi faire 😉
Pour finir
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